Lundi 6 juillet 2009 à 23:14
Une nuit passée sur la plage à attendre que le soleil se lève, une nuit magique qui reste gravée dans ma tête, chaque seconde passée sur cette plage est ancrée en moi.
Deux nuit suivante à ne presque pas savoir dormir, le coeur hurlant sous son baillons inutile, on a beau ne pas l'entendre, je le sens se tordre, se débattre, se meurtrir à n'en plus finir d'attendre encore et encore de connaitre le dénouement de l'histoire. Happy end de conte de fée ou coeur à rafistoler?
Et lorsque je me couche, la caillasse qui remplis mon estomac jusqu'à saturation à la limite de l'overdose, pèse tellement lourd en moi qu'elle m'étouffe.
Je n'attendrais plus l'infinité. Et si il tarde à décider, je ferais mon possible pour oublier jusqu'à son odeur, jusqu'à son regard, jusqu'au son de sa voix.
Moi qui croyais que le jeu avait cessé, à croire que je me suis bien trop brulée.
J'aurais tellement voulu ne plus jamais me rappeler se que celà fait d'aimer, avoir un coeur d'artichaut ou encore mieux, le grand luxe d'avoir un coeur de pierre...
Dimanche 5 juillet 2009 à 13:40
On avait prévu de sortir, ils m'ont tendu un piège qui c'est dévoilé être une magnifique surprise. Je n'ai pas compris dans la seconde où je les ai tous vu, et la seconde d'après, mon émotion noyait mes yeux, coulait super joues et je ne savais plus quoi dire tellement j'étais heureuse de tous les voir là pour moi. Je ne m'étais pas sentie aussi heureuse à ce point depuis longtemps.
Après en groupe plus restraint, ils m'ont amené à la mer. Départ et arrivée tardif, Une nuit sur la plage au son des vague, un levé de soleil en direct, le derrière enfuis dans le sable. La pluie est ensuite arrivée après le spectacle du soleil s'éveillant et s'étirant, elle a pris la peine d'attendre de ne pas gâcher mon plaisir, on est remonté dans la voiture, j'ai somnolé le coeur léger, remplie d'émotion, la tête d'un ange endormi posé sur les genoux.
Je ne sais comment les remercier pour leur présence, leurs sourires, leurs paroles et leurs attentions.
Merci à tous...
Après en groupe plus restraint, ils m'ont amené à la mer. Départ et arrivée tardif, Une nuit sur la plage au son des vague, un levé de soleil en direct, le derrière enfuis dans le sable. La pluie est ensuite arrivée après le spectacle du soleil s'éveillant et s'étirant, elle a pris la peine d'attendre de ne pas gâcher mon plaisir, on est remonté dans la voiture, j'ai somnolé le coeur léger, remplie d'émotion, la tête d'un ange endormi posé sur les genoux.
Je ne sais comment les remercier pour leur présence, leurs sourires, leurs paroles et leurs attentions.
Merci à tous...
Vendredi 3 juillet 2009 à 23:34
Ce soir, j'ai l'impression de mourir, encore une fois, j'étouffe. Les gravas sont à nouveau propriétaires de mon estomac, j'ai le coeur qui pèse des tonnes dans ma poitrine, qui manque à chaque instant de faire exploser mes côtes une à une. J'ai l'impression de hurler à chaque seconde, j'ai envie de pleurer.
À force de trop jouer avec le feu on fini par se bruler... Elle avait raison, j'ai joué et je me suis brulée. Maintenant j'ai mal, et ambiguë comme à mon habitude j'aime autant que je le hais...
Il ne sors jamais de ma tête et pourtant,ça me soulagerais.
Ce soir, il fait tellement chaud que mes larmes semblent glacées sur mes joues...
[Je l'ai sans cesse eu au plus profond de moi et pourtant ce ne sont jamais ses bras autour de moi.]
À force de trop jouer avec le feu on fini par se bruler... Elle avait raison, j'ai joué et je me suis brulée. Maintenant j'ai mal, et ambiguë comme à mon habitude j'aime autant que je le hais...
Il ne sors jamais de ma tête et pourtant,ça me soulagerais.
Ce soir, il fait tellement chaud que mes larmes semblent glacées sur mes joues...
[Je l'ai sans cesse eu au plus profond de moi et pourtant ce ne sont jamais ses bras autour de moi.]
Samedi 27 juin 2009 à 23:44
Lorsque je prends un bain, j'ai plaisir à m'y laisser couler. Je retiens mon souffle et je me laisse sombrer doucement, le temps qu'il faut. Le temps qu'il faut pour me sentir un peu engourdie, jusqu'à sentir mes poumons brûler, alors lorsque la chaleur se fait morsure, je permet à ma tête d'émerger du fond, j'aspire une nouvelle bouffée d'air et là, c'est comme si je naissais encore une fois. Je me sens alors apaisée et j'ai la certitude qu'au dernier instant avant de m'accorder à respirer, je vois son visage me sourire et j'entends sa voix. Ca doit être grâce à ça qu'après je me sens si calme.
Ce soir la caillasse a à nouveau envahit mon estomac, je me sens lourde, même mon coeur pèse une tonne dans ma poitrine.
Ce soir j'ai peur de ne plus le revoir, rien qu'au moins une dernière fois.
Vendredi 26 juin 2009 à 0:28
Comment ai-je pu croire une seule seconde qu'en ne le voyant plus je l'oublierais?
Comment je pourrais oublier ces moments passés durant un an, des moments rien qu'à nous, des instants volés, des secondes clandestines dans nos vies?
Comment pourrais-je oublier celui qui détient mon coeur et l'a emporté avec lui?
Beaucoup de question inutiles, futiles, tout est de ma faute, une fois de plus, je n'ai pas su saisir l'instant, croyant qu'avec le jeu tout allait partir. Alors qu'au contraire tout n'aurait pu que s'approfondir.
Mais une fois n'est pas coutume, je n'ai pas osé lui dire un simple "Ne m'oublie pas, ne pars pas, reste là, avec moi."
Je sais que je le reverrais, c'est prévu, mais après que je me sois si lâchement défilée sans rien dire alors que lui, de son côté faisait tout pour m'inciter à avouer, comment réagira t'il?
J'aurais dû lui dire c'est trois mots simples, c'est trois mots qui me font si souvent défaut, c'est trois mots qui me brûlent la gorge à chaque fois que je le vois, que je pense à lui.
Je t'aime aurait suffit, et pourtant au moment de se quitter, je n'ai rien dit...
À la fin de cet article je me rend compte que je pleure en silence, comme je n'avais plu pleurer depuis longtemps.
Je ne me souvenais plus de la douce amertume des chagrins d'amour. Je m'en veux d'avoir été si bête...
Comment je pourrais oublier ces moments passés durant un an, des moments rien qu'à nous, des instants volés, des secondes clandestines dans nos vies?
Comment pourrais-je oublier celui qui détient mon coeur et l'a emporté avec lui?
Beaucoup de question inutiles, futiles, tout est de ma faute, une fois de plus, je n'ai pas su saisir l'instant, croyant qu'avec le jeu tout allait partir. Alors qu'au contraire tout n'aurait pu que s'approfondir.
Mais une fois n'est pas coutume, je n'ai pas osé lui dire un simple "Ne m'oublie pas, ne pars pas, reste là, avec moi."
Je sais que je le reverrais, c'est prévu, mais après que je me sois si lâchement défilée sans rien dire alors que lui, de son côté faisait tout pour m'inciter à avouer, comment réagira t'il?
J'aurais dû lui dire c'est trois mots simples, c'est trois mots qui me font si souvent défaut, c'est trois mots qui me brûlent la gorge à chaque fois que je le vois, que je pense à lui.
Je t'aime aurait suffit, et pourtant au moment de se quitter, je n'ai rien dit...
À la fin de cet article je me rend compte que je pleure en silence, comme je n'avais plu pleurer depuis longtemps.
Je ne me souvenais plus de la douce amertume des chagrins d'amour. Je m'en veux d'avoir été si bête...
[Et si on pouvait revenir une semaine en arrière]