[Et comment reprendre mon coeur à celui qui me l'a volé?]
Dimanche 24 mai 2009 à 23:02
Et comment ne pas donner son coeur à quelqu'un qui le détient déjà, et comment oublié les instants volés. Avec le temps qui va, tout s'en va. Je ne le verrais bientôt plus, ça me rend triste et pourtant une partie de moi se sent soulagée. Plonger mes yeux dans les siens et partager des pensées sans mot est devenu une drogue. C'est un jeu où les autres n'ont pas leur place, où on se sent seul, où la limite n'est qu'imaginaire. Un jeu dangereux. Trop peut-être. Il va bientôt cesser, c'est inévitable.
[Et comment reprendre mon coeur à celui qui me l'a volé?]
[Et comment reprendre mon coeur à celui qui me l'a volé?]
Jeudi 14 mai 2009 à 21:54
De cette étrange alchimie nait un être chimérique, entier dans sa dualité, amoindrit dans son unité, il est forcément double et pourtant unique. C'est un centaure siamois, un sagitaire gémaux, un amalgame d'essences, un alliage onirique.
Lundi 11 mai 2009 à 22:03
Toi mon amis, mon confident, ces quelques lignes te sont destinées, bien que tu le puisse les lire, bien que je suis sûre que tu sens sans que je te le dise...
Je me rend compte malgré que je ne veuille pas le voir, on est arrivé aux limites de notre couple pour le dressage, que tu ne progresseras plus beaucoup dans la disciplines.
Je me rend compte que tu n'es pas fait pour ça, toi qui adore franchir les barres d'obstacles et galoper au delà des terrains de cross. Je m'en rend compte et malgré tout, je me rend compte que c'est toi que je veux à mes côtés et aucun autre.
Du dressage, je peux en faire sur tellement d'autre, mais toi, je sais que tu répondras toujours présent avec tes yeux pétillants lorsque j'arriverais en pleurs dans ton box, toi je sais que tu donne tout, toujours pour me faire plaisir.
Tu es à moi, mais surtout je suis à toi et ça aucun autre ne peut s'en venter. Le premier a qui je pense le matin, le dernier à qui je pense le soir, c'est toi.
Il n'y en a pas deux comme toi, aucun autre ne m'aura fait oublié mes peurs pour dépasser mes limites, aucun autre n'a autant supporté mes erreurs de jeune cavalière, tout comme personne n'aura jusqu'à présent autant supporté tes sautes d'humeurs, tes bêtises et ton côté lunatique, personne n'aura passé autant d'heures à te chuchoter des mots doux aux creux de l'oreille en te caressant doucement, personne n'aura fait coulé autant de larmes pour toi.
C'est notre force, tout se qui fait notre complicité.
Sur toi j'ose tout, tant qu'il n'y a pas de risque pour toi.
Tu es le seul, l'unique de mon coeur, aujourd'hui et pour toujours.
Jamais de nos vivants nous nous séparerons.
Je t'aime petit cheval au grand coeur. <3
Samedi 2 mai 2009 à 23:19
J'ai un secret à vous révéler...
Les filles ne savent pas se qu'elles veulent, sur ce point là pas de doute possible, je suis une fille. Damned.
Les histoires sans lendemain sont tellement sûres, on le sait d'avance point de raison et encore moins de sentiments.
Les histoires sans lendemain sont tellement sûres, on le sait d'avance point de raison et encore moins de sentiments.
"Je joue, je ne souffrirais pas"
Et pourtant, les histoires, les vrais pleines de passions font envies, point de raison, mais tellement de sentiments, avec naturellement le yang s'accordant au ying.
"Je suis heureuse là avec lui, il est devenu l'indispensable de ma vie, mais si il s'en va, je vais me briser"
Oppositions attrayantes et on tourne en rond ne sachant quoi choisir.
"Quoi qu'on fasse on est toujours seul"
"Je suis heureuse là avec lui, il est devenu l'indispensable de ma vie, mais si il s'en va, je vais me briser"
Oppositions attrayantes et on tourne en rond ne sachant quoi choisir.
"Quoi qu'on fasse on est toujours seul"
Avez-vous déjà connu la perte d'un être cher?
Je ne parle pas de famille, ça tout le monde connait. Je parle de la perte brutale d'un ami, d'un être qui a connu tellement de moments de vie que lorsqu'il est partis on a l'impression d'avoir avec lui perdu tous ces instants de vie.
"Alors on sombre, puis une fois qu'on a touché le fond, on se dit que pour lui on doit remonter"
Tout un temps on le sent à nos côtés, pas très loin, alors on est rassuré, il est toujours là. Le temps passe, et un jour on se réveille en se rendant compte qu'on ne le sent plus, on a mal, on pleure encore une bonne fois, et puis, comme une éclaircie après des jours et des jours d'orage, on se sent apaisé.
"Il a pris son envol, il est bien, moi aussi, un jour on se retrouvera"
Les sujets sont mélangés ce soir, ne m'en veuilliez pas, je suis chamboulée...
Je ne parle pas de famille, ça tout le monde connait. Je parle de la perte brutale d'un ami, d'un être qui a connu tellement de moments de vie que lorsqu'il est partis on a l'impression d'avoir avec lui perdu tous ces instants de vie.
"Alors on sombre, puis une fois qu'on a touché le fond, on se dit que pour lui on doit remonter"
Tout un temps on le sent à nos côtés, pas très loin, alors on est rassuré, il est toujours là. Le temps passe, et un jour on se réveille en se rendant compte qu'on ne le sent plus, on a mal, on pleure encore une bonne fois, et puis, comme une éclaircie après des jours et des jours d'orage, on se sent apaisé.
"Il a pris son envol, il est bien, moi aussi, un jour on se retrouvera"
Les sujets sont mélangés ce soir, ne m'en veuilliez pas, je suis chamboulée...
Vendredi 1er mai 2009 à 21:58
Parfois, je me souviens de quand j'étais petite, des flash me reviennent et alors, je me revois avec mes grands yeux bleus et mes boucles blondes, j'étais petite, souriante et surtout insouciante. Depuis, j'ai toujours mes grands yeux bleus, mes cheveux sont devenu des baguettes, j'ai grandi aussi, en essayant de garder cette douce insouciance enfantine qui fait de moi cette grande rêveuse utopiste, ne se souciant pas outre mesure du futur et vivant chaque seconde. Cette partie de moi est surement une de mes plus grandes force. Alors j'essaye de la conserver de l'entretenir en gardant en mémoire cette petite fille aux boucles d'or insouciante et souriante, en me disant "tu vois, tu as grandis, mais ça, ne le perd surtout pas". Car je me doute bien que c'est se qui m'aide dans les moments difficiles, avec des lendemains trop incertains. Les "de toute façon on est aujourd'hui et demain on peut ne plus être là alors profite" sont tellement plus simples que les "qu'arrivera-t-il encore demain?" Tout le monde devrait se rappeler de ce petit bout resté au fond d'eux, de ce petit bout tellement jeune, mais qui pourtant détenait la clé du bonheur... Et qu'importe les gens trop souciant qui me pensent trop insouciante, ils auront des rides de stress bien avant moi! Et na! =3