Mardi 24 mars 2009 à 21:54
Et patatras la bestiole cafard est une fois de plus logée dans ma tête. Comment fait-elle pour entrer si facilement ces derniers temps? Je dois être félée de la cafetière... Faut avouer ces derniers temps c'est trop facile, je deviens trop vulnérable, affaiblie par tant de petites choses pourtant banales. La fatigue, la solitude, le doute parfois, et les beaux jours qui sont à nouveau battus par la pluie. Rien de bien extraordinaire, rien d'insurmontable, juste une faiblesse passagère, ça finira bien par passer, heureusement grâce à quelques amis, je me sens bien entourée. Soutenue aussi. Des nouvelles choses se profilent à l'horizon, on ne parlera de rien tant qu'il n'y a pas de certitude, mais peut-être enfin, quelque chose de grandiose à mes yeux pourrait arriver. À ce demander comment ce soir j'arrive à me laisser abattre par un peu de pluie et de solitude. Comment ce cafard a-t-il bien pu s'incruster? Quelqu'un dans l'assistance aurait-il une bombe instecticide anti récidive pour moi?
Dimanche 22 mars 2009 à 9:21
Je donnerais n'importe quoi, pour pouvoir encore et encore me fondre en vous, ne faire plus qu'un le temps d'une danse où le temps n'as pas d'importance, où les soucis sont vains, où on ne pense plus à rien qu'à nous, à notre symbiose.
Je suis ton guide et il es mes jambes, mais rien ne doit se voir, tout ne doit être que discrétion, comme si notre langage n'était autre que de la télépathie, un langage uniquement compris par lui et moi.
J'essaye encore et encore, sans fin d'atteindre la perfection avec tous ceux qui me font l'honneur, le temps d'un instant d'être mes jambes et de me laisser être leur guide.
Je suis ton guide et il es mes jambes, mais rien ne doit se voir, tout ne doit être que discrétion, comme si notre langage n'était autre que de la télépathie, un langage uniquement compris par lui et moi.
J'essaye encore et encore, sans fin d'atteindre la perfection avec tous ceux qui me font l'honneur, le temps d'un instant d'être mes jambes et de me laisser être leur guide.
Samedi 21 mars 2009 à 21:42
Une fois n'est pas coutume, des tas de choses se précipitent dans ma tête, se bousculent à l'orée de mes lèvres, mes rien ne sort, mes cordes vocales doivent faire grève... Un manque énorme d'affection se profile à l'horizon, et si simplement, il pouvait me prendre dans ses bras, rien de plus, rien de superflus, juste un brin de tendresse, quelque degré de chaleur humaine à m'offrir. Rien d'autre. Ca irait déjà tellement mieux. Je me sens vide du côté du coeur. Alors que le reste de moi est remplis à raz-bord, le coeur reste vide, personne d'assez fou pour essayer de le remplir. Ou alors, peut-être que je les repousse inconsciement? Aucune idée, loin de moi l'envie de repousser.
Je m'en vais dormir, seule, rêvant de bras pouvant m'entourer...
Je m'en vais dormir, seule, rêvant de bras pouvant m'entourer...
Dimanche 15 mars 2009 à 22:42
Vivre pour une passion dévorante, vivre pour les aimer,les comprendre, évoluer avec eux dans une danse sans fin, une danse complexe, un dialogue infiniment fin et discret compris que d'eux et moi, et après plonger mes yeux dans les leurs et leur transmettre toute la reconnaissance que j'ai envers eux. Je leurs consacre ma passion, ma vie, ils sont mon souffle, mon oxygène.
Lundi 9 mars 2009 à 21:14
Instants privilégiés entre lui et moi, instant trop court, ces instants emprunt de tendresse le sont toujours, trop court. Tu étais là, la tête appuyée sur mon épaule, les naseaux enfuis dans ma nuque, respirant doucement, soupirant par moment de bonheur sans doute. Moi je pouvais sentir tout le lien qui nous unis, te murmurer une fois de plus combien je t'aime et combien tu as une place privilégiée dans ma vie, tu as la place incontestable du coeur. Et nous étions là seuls au monde, a profiter de cet instant de quiétude, de solitude. Tes yeux fermés exprimaient toute la confiance que tu m'accorde, mes doigts ne savaient faire autrement que de courir le long de ta joue et mes bras de se serrer autour de ton encolure. Sans toi, mon monde serait on ne peut plus triste, malgré tous les autres que je monte et dont je m'occupe, malgré qu'ils soient meilleurs que toi, tu reste le meilleur aux yeux de mon coeur.