Mon moral s'emballe et fait pèter le tensiomètre de la bonne humeur. Des projets, des ambitions, tout avance petit à petit. Surement un nouveau cheval au travail et pas des moindre en plus. Là je suis entrain de me dire que toutes la sueur et les larmes versés, tout le travail accomplis, tous le temps investis, tout ça commence à tout doucement payer et enfin les compliments, et les proposions arrivent. Enfin je commence à décoller, doucement mais surement. Bien entendu je ne relacherais pas la tension, ni les efforts ni le travail, mais ces réussites m'encouragent à redoubler d'efforts. Peut-être qu'un jour je percerais vraiment. Alors, je n'oublirais pas de me rappeler d'où je viens et de remercier tous ceux qui m'auront encourager. D'ailleurs je les remercie déjà, de me soutenir et de croire en moi assez fort que pour me permettre d'avancer...
Lundi 23 février 2009 à 19:46
Commentaires
Par Lundi 13 juillet 2009 à 12:59
le L'équitation est une maladie autant qu'une passion, une drogue dure pire que l'héroïne. Je comprend se que tu peux ressentir car le seul endroit où je me sens entière et sereine, c'est près d'eux. Je fais un peu de compétition, mais ce que j'aimerais faire c'est du spectacle. Mon rêve serait d'aller à l'académie de spectacle équestre de Versailles d'ici quelques années...
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J'ai monté à cheval quelques années, c'était une vraie passion. Je passais mes week-ends au centre. Ensuite j'ai dû arrêter. Mais tu n'imagines pas combien de fois je me suis réveillée le matin, presque les larmes aux yeux parce que j'avais rêvé "chevaux". Ca me passe doucement. Ca fait trois ans et demi. Et je ne sais même pas pourquoi je te dis tout ça : ,