Parfois, il arrive qu'on doute, qu'on ai peur, qu'on perde l'impression d'avancer, qu'on pense régresser, qu'on aie peur de perdre l'envie, qu'on aie peur d'oublier de regarder l'autre.
Il suffit alors qu'on nous pousse un peu, qu'on nous ouvre les yeux, qu'on nous encourage, parfois qu'on nous empoigne un peu. Et le plaisir revient, la peur s'en va et à nouveau le sourire est là, même dans la difficulté.
Parfois j'ai peur de ne pas arriver au niveau que j'aurais voulu, mais ils sont là pour me prouver que tout est possible, pour les jours où j'ai trop peur, me porter au bout de leur bras et supporter mes plaintes.
Parfois j'ai peur qu'il ne soit pas assez bon, pas assez volontaire, et alors lui, de toute sa générosité et sa gentillesse me prouve le contraire. On y arrivera quoi que les autres en pensent.
Je me demande souvent comment je pourrais remercier suffisement un jour toutes les personnes qui me portent à croire en mes rêves.
Mon entraineur, toujours patiente et pleine de conseils.
Mon papa, toujours là pour m'épauler, écouter mes petits tracas, me suivre en concours, se lever tot pour m'accompagner.
Mezquino qui tous les jours m'apprend la patience, la rigueur, la générosité, l'amour, le tact, le plaisir.
Il suffit alors qu'on nous pousse un peu, qu'on nous ouvre les yeux, qu'on nous encourage, parfois qu'on nous empoigne un peu. Et le plaisir revient, la peur s'en va et à nouveau le sourire est là, même dans la difficulté.
Parfois j'ai peur de ne pas arriver au niveau que j'aurais voulu, mais ils sont là pour me prouver que tout est possible, pour les jours où j'ai trop peur, me porter au bout de leur bras et supporter mes plaintes.
Parfois j'ai peur qu'il ne soit pas assez bon, pas assez volontaire, et alors lui, de toute sa générosité et sa gentillesse me prouve le contraire. On y arrivera quoi que les autres en pensent.
Je me demande souvent comment je pourrais remercier suffisement un jour toutes les personnes qui me portent à croire en mes rêves.
Mon entraineur, toujours patiente et pleine de conseils.
Mon papa, toujours là pour m'épauler, écouter mes petits tracas, me suivre en concours, se lever tot pour m'accompagner.
Mezquino qui tous les jours m'apprend la patience, la rigueur, la générosité, l'amour, le tact, le plaisir.
Et après tout, si un jour on se dit qu'on ne pourra pas aller loin et haut, tampis, nous irons toucher nos rêves du bout des doigts, le plus près possible, mais ensemble. C'est le principal, être ensemble. Lui et moi entourer de tous ces gens magnifiques par leur présence.
Où qu'il aille, je le suivrais.