Je ne pensais pas que le deuil serait si difficile. Chaque jour; il y a une petite chose, parfois même infime qui me fait penser à elle. Un bruit, une odeur, un mot. Un rien fait remonter des souvenirs. Alors je ravale mes larmes, et un pas devant l'autre je me répète sa phrase magique : "Ca va".
Chaque jour je me dis qu'il y a encore tellement de choses que j'aurais voulu lui dire, faire avec elle, lui monter.
J'aurais aimé lui dire merci, encore et encore pour tout se qu'elle m'a patiemment appris. Elle m'a laissé tellement de valeur en héritage. Elle me les a transmises comme je les transmettrais plus tard à mes enfants et petits-enfants.
J'aurais aimé lui montrer mon nid, mon chez moi, lui montrer à quel point je suis heureuse dans ma vie, lui montrer qu'elle a eu raison de me soutenir dans mes moindre projets.
Mais maintenant, je veux juste lui dire qu'elle me manque, que tant de fois j'ai pensé l'appeler pour avoir ses conseils, sa sagesse, son soutient avant de me rappeler que c'est impossible, que plus jamais je n'entendrais sa voix, sentirais son odeur, pourrais l'étreindre.
Le manque est cruel...
Chaque jour je me dis qu'il y a encore tellement de choses que j'aurais voulu lui dire, faire avec elle, lui monter.
J'aurais aimé lui dire merci, encore et encore pour tout se qu'elle m'a patiemment appris. Elle m'a laissé tellement de valeur en héritage. Elle me les a transmises comme je les transmettrais plus tard à mes enfants et petits-enfants.
J'aurais aimé lui montrer mon nid, mon chez moi, lui montrer à quel point je suis heureuse dans ma vie, lui montrer qu'elle a eu raison de me soutenir dans mes moindre projets.
Mais maintenant, je veux juste lui dire qu'elle me manque, que tant de fois j'ai pensé l'appeler pour avoir ses conseils, sa sagesse, son soutient avant de me rappeler que c'est impossible, que plus jamais je n'entendrais sa voix, sentirais son odeur, pourrais l'étreindre.
Le manque est cruel...