Mardi 3 mars 2009 à 22:03
Je me décide enfin à préparer mon sac pour demain, essaye de chasser la conversation de tout à l'heure de ma tête, espère ne pas rêver de lui cette nuit. C'est marrant les obsessions qu'on a parfois. Je me réjouis je sais que je vais le revoir, en fait j'aime beaucoup discuter avec lui, de tout de rien de la plus et du beau temps. J'ai l'impression d'être comprise, sans être jugée. Pourvu que demain le soleil brillera, la pluie casserais mon moral, en plus, cette semaine de beau temps a été tellement belle, le beau temps ne ferait que la prolonger d'avantage, se serait parfait. Croisons les doigts, faisons une petite danse du soleil, prions le de bien vouloir nous tenir compagnie.
Dimanche 1er mars 2009 à 23:11
Je me suis déjà souvent demander, en regardant autour de moi les couples, combien s'aimaient. Non pas simplement s'aimer de désir, mais s'aimer de passion, de passion brûlante, douce et amère à la fois. Combien sont animé par la passion qu'ils ont envers l'autre. La passion, l'admiration, le partage d'émotions indescriptible juste par un regard. Souvent les couples me donnent un impression de fadeur, un manque de vie, juste une habitude d'être ensemble, une accoutumance à une drogue insipide. Peut-être sont-ils ensemble pour ne plus avoir peur? Je ne comprends pas. aimer sa devrait faire peur, apporter une folie des grandeurs, enivrer mieux que le meilleurs des alcool, ajouter une passion de plus dans les vies. Une passion brûlante qui ne se consumerait pas. Je dois être utopiste... D'ailleurs je ne me souviens plus de se qu'on ressent en tombant amoureux. Peut-être deviendrais-je alors moi aussi insipide. Alors je préfère être seule et vivre de ma propre passion déjà bien assez grisante.
Dimanche 8 février 2009 à 22:23
Parfois l'envie est forte, doublée de sentiments de complicité et de réciprocité, elle n'en est que des plus perverse. On veut y résister, on se bat en permanence contre soi-même sans pouvoir ignorer le regard de l'autre, dans lequel on lit les envies jumelles des nôtres. Alors on tourne autour du pot, jouant à un jeu dangereux, on fini par céder, mais pas totalement, on s'autorise un relâchement. Jurant et crachant qu'on ira pas plus loin, qu'on ne le fera plus, croix de bois croix de fer. On passe quelques jours en évitant soigneusement d'y penser, on rigole, puis on s'effleure par accident, par inattention et dans nos regards, les mêmes choses se reflètent à nouveaux. On prend garde, jusqu'à la prochaine fois. Il n'y a pas de mal à qui sait l'assumer. Moi je l'assume, mais quand est-il de l'autre, il est parfois tellement compliqué à déchiffrer.
ps: Nouvel habillage disponible, nouveau modules, tirez-vous le portrait, laisser un mot, une trace ça me fera plaisir!
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Mardi 3 février 2009 à 21:58
Une sale journée, malade, pleine de migraines et de crampes. Une journée gachée, clouée au lit, sans avoir pu prendre ma bouffée d'oxygène, sans avoir pu aller voir mes chevaux, sans n'avoir rien pu faire d'autre que me trainer et dormir. Je hais cette faiblesse.
Dans ces moments en plus d'avoir mal au corps, j'ai mal à l'âme. Je n'ai personne à qui penser, personne pour me réconforter, personne à aimer. Je m'en demande souvent, trop souvent si un jour je retrouverais la sensation étrange de ce sentiment. Malgré les affinités proches avec certains, je le sais que ce n'est pas ça. Juste un jeu, un simple jeu de charme et de minaudage. Sans lendemain car je n'en veux pas, car il n'y a rien, pas de sentiments. Juste un poil de complicité et à la limite un peu d'amitié. Le vide, le néant sentimental. Je me sens parcourue de courants d'air froids, glacial, me figeant le coeur par la glace éternel qu'ils provoquent. Pas d eprince pas trop charmant à l'horizon, pas de réconfort, juste du vide. Sur ce je vais m'enfuir sous ma couette, m'isoler dans les bras de morphée, en espérant que demainle maux de corps sera passé, et les maux de l'âmes réduits à de la caillasse dans mon estomac, que j'aurais une fois de plus du mal à digérer.
Dans ces moments en plus d'avoir mal au corps, j'ai mal à l'âme. Je n'ai personne à qui penser, personne pour me réconforter, personne à aimer. Je m'en demande souvent, trop souvent si un jour je retrouverais la sensation étrange de ce sentiment. Malgré les affinités proches avec certains, je le sais que ce n'est pas ça. Juste un jeu, un simple jeu de charme et de minaudage. Sans lendemain car je n'en veux pas, car il n'y a rien, pas de sentiments. Juste un poil de complicité et à la limite un peu d'amitié. Le vide, le néant sentimental. Je me sens parcourue de courants d'air froids, glacial, me figeant le coeur par la glace éternel qu'ils provoquent. Pas d eprince pas trop charmant à l'horizon, pas de réconfort, juste du vide. Sur ce je vais m'enfuir sous ma couette, m'isoler dans les bras de morphée, en espérant que demainle maux de corps sera passé, et les maux de l'âmes réduits à de la caillasse dans mon estomac, que j'aurais une fois de plus du mal à digérer.
Mardi 27 janvier 2009 à 20:56
Pourquoi dans ma tête son nom tourne en obsession? Je n'aime pas ça, je m'interdis de penser à lui. Son sourire est trop blessant, trop tranchant. Ses yeux trop brulant. De toute façon, c'est trop tard, j'ai perdu mon coeur il y a déjà quelque temps. Puis je n'aime pas les complications, je n'aime pas devoir prendre ce genre de chose en compte dans mon temps. Car le mien est compté, je n'ai plus de temps, le sablier a rendu son dernier grain de sable. Mes journées ne comptent que vingt-quatre heures, et malheureusement c'est beaucoup trop court que pour y caser une personne de plus. Encore moins une personne pour qui je n'ai qu'un sentiment d'envie. La prochaine personne qui prendra des heures de mes journées sera celui qui pourra me rappeler se qu'on ressent lorsque l'on est amoureux. Le pari est lancé, mais perdu d'avance, personne ne s'aventurera dans ce jeu du pile ou face, du je gagne ou je te perds. Personne n'a cette folie ressemblante à la mienne, celle de s'amuser à effleurer les tranchants en pariant qu'on ne s'y coupera pas encore une fois. Alors, tampis.