Mardi 9 septembre 2008 à 20:15


Souvent, il m'arrive d'avoir envie d'écrire mes pensées. La majeur partie du temps l'incapacité m'envahit et je ne peux rien sortir. Mes pensées se bousculent, se tordent, s'emmèlent, se choquent et s'entre choquent. Parfois elle s'emboitent et de deux pensées nait une idée, à l'inverse il a arrive qu'une pensées se disloque en tellement menu morceaux qu'on ne peux plus les retrouver, mettre le doigts dessus. Il arrive aussi qu'elles m'écrasent, leurs poids répartit dans mon crane trop lourd pour mes épaules me ratatine sur moi même. Il arrive que ces pensées sortent de ma bouche à défaut de pouvoir les écrire, je les dits. Mais leurs flots tumultueux se déversent par l'interstice laissé entre mes lèvres et m'emporte dans leur remous, si bien que je ne sais plus se que je dis, je me noie sous les mots, sous les pensées... Me voilà alors noyée, à court de souffle.




Lundi 8 septembre 2008 à 11:08


Parce que quand je veux écrire un bafouille sur elle, les mots se pressent tellement dans ma tête que je ne sais les quels dire. Alors je ne me plongerais pas dans un grand discourt, parce qu'après tout, le principal elle le sait déjà. Alors Je crois que je ne vais qu'ajouter une seule petite chose... Draaaaagooooon poiiiiiiluuuuuuu!!



Samedi 6 septembre 2008 à 22:08




Les belles histoires doivent avoir une fin, aujourd'hui une des mienne c'est terminée. Deux routes se sont séparées. C'est mieux comme ça, d'ailleur il n'y a pas de regret. C'était une belle histoire, mais, avec le temps il a fallu passer à autre chose. On évolue, et il est dur pour deux être ne pleine évolution de se suivre, chacun choisissant ça propre voie. Je ne garde en tête que le meilleur de cette année passée avec cette personne, il m'a fait grandir, il m'a changée, en bien. Merci.







Samedi 6 septembre 2008 à 9:22


Sur son dos je nous sens un, une seul être fait de deux corps, centaure jumeaux, gémeaux siamois.




Jeudi 4 septembre 2008 à 21:29


Il y fait chaud, dans la forge, quand on en sort on a froid, on se couvre comme pour une expédition au pôle nord. C'est mon cas du moins. Le rayonnement des flammes est tellement puissant qu'on pense pouvoir bronzer. Ca serait trop beau ça!! Une odeur particulière y règne, l'odeur chaude du charbon en braise, mélangé à celui du fer bien chaud et de la sueur. Le chant des enclumes fracassées sous les coups de marteaux à un rythme bien régulier accompagne nos journées de leurs mélodies assourdissantes tels des métronomes géants.
Ce milieu rude et bien particulier me plait. Bien que mes bras ne sont que courbatures et mes mains douloureuses, j'en suis de plus en plus sûre, je ne me suis pas trompée en choisissant de vouloir devenir maréchal-ferrant.




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