Je n'aime pas les journées où je ne sais que faire, le temps ne passe pas, les secondes restent bloquées dans la trotteuse de l'horloge. C'est lorsque je ne sais comment passer le temps que mon esprit travaille le plus, le plus mal également. Il me fait mal au coeur, ce dernier se meurt, je ne sais plus très bien se qu'il s'y passe. Les sentiments que je refoulent chaques jours, les malaises, les peines et les peurs, tout ces mots que j'ignorent le plus souvent possible m'assaillent et me hantent lorsque mon rythme ralentis. Alors je rêve que d'anesthésier ces douleurs à grand coup de sommeille que je ne trouve pas, afin d'oublier et d'arriver plus rapidement à un jour plus chargé où je n'aurais le temps de penser. Les apparences sont trompeuses, lorsque le masque de cire fond, il ne reste plus qu'une vulgaire poupée délavée sans grand interret, fragile qui plus est. Se brisant pour un rien tel une vague sur la digue des sentiments incompris, des mots qui ne sont jamais prononcés et des aveux qui resteront à jamais inavoué. Je m'active à repousser les gens pouvant m'offrir un peu de répis, alors qu'en moi, tout contredis mes gestes et mes mots. La peur de me briser une nouvelle fois m'envahit à chaque geste tendre de la part des gens et à nouveau je m'enfuis. Je suis forte pour ça, m'enfuir, me cacher, me défiler. Chaque jour qui passe, je m'efforce de me durcir, de m'endurcir, de paraitre forte, ainsi on ne peut voir à quel point je peut être fragile, chétive. Tout celà en espérant qu'on ne me brisera pas d'une maladresse tel on brise un vase en cristal en le bousculant de son piédestal. C'est ainsi que je m'efforce de ne point m'attacher aux gens afin de pouvoir m'enfuir sans avoir à me retourner à me briser moi-même par le faute d'un cri du coeur trop strident, d'un "demande moi de rester" volontaire involontaire hurlé à la personne aimée. Malgré tout, il arrive que parfois je m'attache involontairement, ces expériences ont toujours été douloureuses, à chaque fois je décrète que l'on ne m'y reprendra plus, cependant, je me surprend une fois de plus la main dans le sac. Et c'est repartis, on me relance dans une chute infernale qui se finira en grands fracas.
Samedi 27 septembre 2008 à 17:11
Je n'aime pas les journées où je ne sais que faire, le temps ne passe pas, les secondes restent bloquées dans la trotteuse de l'horloge. C'est lorsque je ne sais comment passer le temps que mon esprit travaille le plus, le plus mal également. Il me fait mal au coeur, ce dernier se meurt, je ne sais plus très bien se qu'il s'y passe. Les sentiments que je refoulent chaques jours, les malaises, les peines et les peurs, tout ces mots que j'ignorent le plus souvent possible m'assaillent et me hantent lorsque mon rythme ralentis. Alors je rêve que d'anesthésier ces douleurs à grand coup de sommeille que je ne trouve pas, afin d'oublier et d'arriver plus rapidement à un jour plus chargé où je n'aurais le temps de penser. Les apparences sont trompeuses, lorsque le masque de cire fond, il ne reste plus qu'une vulgaire poupée délavée sans grand interret, fragile qui plus est. Se brisant pour un rien tel une vague sur la digue des sentiments incompris, des mots qui ne sont jamais prononcés et des aveux qui resteront à jamais inavoué. Je m'active à repousser les gens pouvant m'offrir un peu de répis, alors qu'en moi, tout contredis mes gestes et mes mots. La peur de me briser une nouvelle fois m'envahit à chaque geste tendre de la part des gens et à nouveau je m'enfuis. Je suis forte pour ça, m'enfuir, me cacher, me défiler. Chaque jour qui passe, je m'efforce de me durcir, de m'endurcir, de paraitre forte, ainsi on ne peut voir à quel point je peut être fragile, chétive. Tout celà en espérant qu'on ne me brisera pas d'une maladresse tel on brise un vase en cristal en le bousculant de son piédestal. C'est ainsi que je m'efforce de ne point m'attacher aux gens afin de pouvoir m'enfuir sans avoir à me retourner à me briser moi-même par le faute d'un cri du coeur trop strident, d'un "demande moi de rester" volontaire involontaire hurlé à la personne aimée. Malgré tout, il arrive que parfois je m'attache involontairement, ces expériences ont toujours été douloureuses, à chaque fois je décrète que l'on ne m'y reprendra plus, cependant, je me surprend une fois de plus la main dans le sac. Et c'est repartis, on me relance dans une chute infernale qui se finira en grands fracas.
Vendredi 26 septembre 2008 à 22:00
Me voilà lessivée après une semaine folle, déçue que demain se soit la fête de la communauté française et de ne pas avoir forge, mais en même temps tellement heureuse de pouvoir me reposer. Cette semaine n'a été que satisfaction, j'ai réussis à faire quelque chose de correcte de mon lopin, les profs m'ont dit que ça devenait bien. La forge et mes chevaux sont les seuls dans lesquels j'ai envie de m'investir actuellement, je n'ai plus envie de trop m'attacher. De toute façon pour avoir le temps de m'investir dans autre chose ou même de m'attacher à quelqu'un, il faudrait que j'en ai le temps, pour celà il faudrait lever le pieds du côté chevaux. Et ça c'est impossible...
[Va finir vieille fille avec ses chevaux]
Mardi 23 septembre 2008 à 20:32
Elle pue,
Elle rote,
Elle pète,
Elle ronfle,
Elle est capricieuse et infernale.
Elle fait 30kg d'amour,
Elle ne comprend pas que s'imposer sur les gens pour un calin c'est pas bien.
Mais je l'aime cette grosse bèbète. <3
Mardi 23 septembre 2008 à 16:08
Dans mon coeur, tout est gelé. Non pas par des neiges éternelles, c'est un problème éphémère, passager j'espère. J'ai barricader mon coeur dans un igloo de glace, je l'ai enfermé dedans, le temps qu'il se repose. Je lui ai jetté un sors afin qu'il ne se brise pas. Mais voilà, dans son igloo il a un peu froid. Il va finir gelé, sans personne pour le sauver.
[Il faudrait que je trouve une paire de bras pour braver le froid]
Dimanche 21 septembre 2008 à 20:52
Je suis handicapée, handicapée de la communication, j'ai une grande gueule, mais quand il s'agit de sérieux, de sentiments ou de malaise, je ne sais absolument pas m'exprimer, les mots restent bloquer et se transforment en gravier que mon estomac a bien du mal à digerer.
Je pleure souvent, ça aide la digestion de mes gravats d'estomac. Quand je ne sais pas m'exprimer je pleure.
J'aime faire des photos de rien, je ne sais pas pourquoi, j'ai toujours aimer ça, je trouve ça naturel.
J'aime rentrer dans ma chambre où l'odeur forte et enivrante d'encens flotte en quasi permanence.
J'adore trainer en vieux pantalon africain surmonté d'un t-shirt informe. Je déteste me coiffer, ça me tue le moral, je déteste mes cheveux.
Je suis timide, mais impulsive, mélange étrange.
J'ai du mal à montrer mes sentiments, j'accorde peu ma confiance.
[Je ne me suis jamais présentée ici et quand je le fais, je ne trouve que des choses inintéressante à dire]
[C'est tout moi]