« J'ai appris que les adieux feront toujours mal. Que les photos ne remplaceront pas le plaisir des instants passés. Que les souvenirs, bons ou mauvais, feront toujours pleurer. Que les mots ne seront jamais aussi forts que les sentiments éprouvés ... »
Samedi 8 août 2009 à 14:43
Ce matin en émergeant du sommeil, j'ai pensé à lui et au bonheur que j'aurais ressenti en m'éveillant à ses côtés, son visage d'ange encore endormi dans les draps. Un poids indescriptible c'est posé sur mon coeur me coupant le souffle et une fois de plus j'ai pleurer. Encore. Je me suis levée avec les jambes de coton et les yeux humides, j'ai enfilé mon jogging et mes tennis pour aller courir espérant laisser le poids derrières mes foulées, rien n'y a fait il était toujours là à me couper le souffle, m'en faisant pleurer, au bord de la crise d'asthme.
Depuis une semaine, c'est comme si un trop gros bout de moi c'était arraché lorsqu'il est monté dans le train, comme si tout c'était écroulé lorsqu'il m'a donné ce baisé qui goutait tellement l'adieu. Comme si jamais mes lèvres ne pourraient sourire sans que la tristesse du fond des mes yeux ne les trahissent. À chaque vibration de mon gsm, je fais le voeux que se soit lui. j'ai peur qu'il m'oublie, j'ai peur d'un jour me réveiller en ne pouvant plus me souvenir de ses yeux, du song de sa voix, de son odeur.
Depuis une semaine, c'est comme si un trop gros bout de moi c'était arraché lorsqu'il est monté dans le train, comme si tout c'était écroulé lorsqu'il m'a donné ce baisé qui goutait tellement l'adieu. Comme si jamais mes lèvres ne pourraient sourire sans que la tristesse du fond des mes yeux ne les trahissent. À chaque vibration de mon gsm, je fais le voeux que se soit lui. j'ai peur qu'il m'oublie, j'ai peur d'un jour me réveiller en ne pouvant plus me souvenir de ses yeux, du song de sa voix, de son odeur.
Jeudi 6 août 2009 à 23:03
Ce soir la solitude est ma compagne, je ressens le manque et pourtant la raison me dicte d'oublier, de prendre mon courage à deux main et de tourner la lourde page. Mais rien n'y fait, même son odeur est encore dans mes narines. Un voile de froid m'a enveloppé et malgré la clémence de la météo, à l'intérieur j'ai froid, comme si cette séparation brutale m'avait congelée. J'essaye de ne pas penser, de tout faire pour m'occuper mais il y a toujours un moment où tout reviens et je me brise de plus belle comme une vieille tasse recollée qui refait tomber.
Demain, des personnes adorables chères à mon coeur me réchaufferont le temps d'une douce soirée, peut-être même qu'il fera le déplacement.
Je suis mazochiste je sais qu'après ça sera encore plus dur, mais je suis tellement heureuse quand je le voit. Peut-être qu'avec le temps je n'aurais plus se gros pincement au coeur et cette boule dans la gorge en plongeant mes yeux dans les siens.
Demain avec ou sans, je ferais tout pour que la soirée me soit douce, pour le temps d'un soir oublier que j'ai mal.
Demain, des personnes adorables chères à mon coeur me réchaufferont le temps d'une douce soirée, peut-être même qu'il fera le déplacement.
Je suis mazochiste je sais qu'après ça sera encore plus dur, mais je suis tellement heureuse quand je le voit. Peut-être qu'avec le temps je n'aurais plus se gros pincement au coeur et cette boule dans la gorge en plongeant mes yeux dans les siens.
Demain avec ou sans, je ferais tout pour que la soirée me soit douce, pour le temps d'un soir oublier que j'ai mal.
Mercredi 5 août 2009 à 12:43
Seule pendant une semaine, je peux laisser libre cours à mes émotions et à mes envies. Je ne suis plus obligée de me battre contre moi même et contre ma peine, alors je pleure souvent. Je ne mange que lorsque j'ai faim c'est à dire un fois par jour quand je me lève, pourtant c'est pas faute d'essayer, j'ai même commandé un super couscous en espérant voir mon appétit renaitre mais rien n'y a fait, tout est encore là dans le micro onde avec seulement deux bouchées picorées dedans. Je n'y arrive pas,par moment j'émerge mais dès qu'il revient hanter dans ma tête je replonge encore plus bas. Je croyais être immunisée contre les peine de coeur. Mais je me suis bien plantée il me semble... J'aurais préférer garder mon coeur froid en pierre. Celui qui a émergé est tout mou et friable, ça fait mal. J'ai l'impression que personne ne viendra me sauver cette fois. Triste, seule et blessée sont trois bon qualificatifs. J'essaye de me faire crouler sous toute sorte d'activitée qui m'occupent un minimum le corps et l'esprit mais rien en suffit. Son image traverse le blindage de ma tête, et pire d emon coeur et à chaque fois c'est la même chose, je suffoque tant les larmes bloquent dans ma gorge avant d'arriver à sortir et à s'écouler sur mes joues. Le pire c'est que je n'arrive pas à être en colère, se qui m'aurait un temps soit peu aidé à tourner une lourde page. Je ne comprend pas se qu'il s'est passé pour que j'en arrive à un tel point. J'ai beau comprimer la plaie, rien n'y fait, sa saigne encore et toujours plus...
[Sa main beaucoup plus grande et plus dure entourant la mienne]
[Cette sensation d'infini]
[Cette journée au fil de l'eau]
[J'aurais dû tout lui dire, tout tenter pour le retenir]
[Ca fait si mal]
[Pourquoi ne sait-on pas remonter le temps?]
[Sa main beaucoup plus grande et plus dure entourant la mienne]
[Cette sensation d'infini]
[Cette journée au fil de l'eau]
[J'aurais dû tout lui dire, tout tenter pour le retenir]
[Ca fait si mal]
[Pourquoi ne sait-on pas remonter le temps?]
Lundi 3 août 2009 à 12:39
Doucement, j'émerge, je tente de me relever, j'ai la coeur et la tête lourde, beaucoup de caillasse dans l'estomac, je titube, trébuche, m'écorche un peu plus, mais j'essaye. J'y arriverais. De toute façon je ne suis pas amère, alors ça ira. Je garde en moi tous ces instants précieux, et je sais qu'il y en aura d'autres malgré tout entre nous. J'ai toujours mal, mais je sais que ça finira bien par passer et je sais que je ne suis pas la seule.
[Et ce baisé qui semblait être un adieu]
[On oublie jamais rien on vit avec]
[Et ce baisé qui semblait être un adieu]
[On oublie jamais rien on vit avec]